J’espère que tout roule de ton côté et que la vie te sourit comme tu le mérites. T’as ressorti les gros pulls et les chaussettes douillettes avec l’arrivée de l’automne? Je dois t’avouer qu’il y a quelque chose de magique à cette période de l’année. C’est tout juste si je n’enfile pas mon snood pour le plaisir.
Alors, je ne sais pas si tu t’en souviens, mais il y a quelques jours, pendant une de ces soirées où le vent fait rougir les joues, je me suis retrouvée à discuter avec une amie sur les bienfaits insoupçonnés de l’allaitement. Eh oui, la conversation a pris un tournant inattendu, et on a fini par s’émerveiller de cette douce proximité entre mère et enfant, surtout lors des soirées fraîches.
Imagine-toi blottie sous une couverture, avec le crépitement des feuilles mortes à l’extérieur et la douce lumière tamisée d’une bougie. C’est déjà un tableau idyllique, non? Eh bien, ajoute à cela la chaleur de l’allaitement. Les bébés, eux, ils ont le super-pouvoir de transformer ces moments en véritables bulles de sérénité. Leur petite bouille, toute apaisée par cette connexion unique, c’est du baume au cœur. C’est comme une tasse de chocolat chaud pour l’âme.
Mais au-delà de l’aspect émotionnel, il y a aussi tous ces petits avantages pratiques. Par exemple, nul besoin de se lever pour préparer un biberon en pleine nuit, d’autant plus quand il fait froid. Et, même si on parle peu de cela, l’allaitement a ce petit quelque chose qui réchauffe autant le bébé que la maman. C’est une symbiose, une danse douce entre deux êtres qui, même en plein cœur de l’automne, trouvent une chaleur réconfortante.
Bien sûr, chaque maman fait ses choix, et il n’y a pas de « meilleure » manière de nourrir son enfant. Mais je trouve que ces instants d’allaitement, lors des soirées d’automne, ont quelque chose de magique, de poétique. C’est comme si la nature nous offrait une parenthèse douillette, hors du temps.
Voilà, je voulais simplement partager cette réflexion avec toi. Peut-être que la prochaine fois que tu apercevras une maman allaiter dans un parc, alors que les premières feuilles commencent à tomber, tu y verras cette belle harmonie dont je te parle.
Sur ce, c’est tout pour moi pour cette Lait’tre,
Je te dis à demain et te souhaite une douce jour’néné.