Selon les textes juridiques :
Les entreprises comprenant plus de 100 salariés doivent mettre à disposition un local pour accueillir les nouveau-nés de leurs collaboratrices.
Le code du travail va même jusqu’à expliciter :
« Le local dédié à l’allaitement a une hauteur de trois mètres au moins sous plafond. Il a au moins, par enfant, une superficie de trois mètres carrés. Un même local ne peut pas contenir plus de douze berceaux.
Personne ne doit passer la nuit dans le local dédié à l’allaitement où les enfants passent la journée.
La rémunération du médecin et du personnel du local dédié à l’allaitement ainsi que la fourniture et l’entretien du matériel et des effets énumérés aux articles R. 4152-20 et R. 4152-27 sont à la charge de l’employeur.
Aucune contribution ne peut être réclamée aux mères dont les enfants fréquentent le local »
Et les textes juridiques ajoutent qu’en outre, les mères peuvent disposer d’une heure par jour au total, pendant un an à compter de la naissance, pour allaiter leur enfant pendant leur temps de travail.
Alors ça… c’est la théorie… Sur le papier tout beau, tous blanc…
Parce que la fameuse heure est un droit, fractionnable en 2 fois, et l’employeur n’est pas tenue de la rémunérer. En gros on prend des « pauses » lactées, au lieu de pauses « cafés ».
J’attends vos témoignages en commentaire la #teamlactée, on vous a facilité la tâche quand vous êtes retournée au travail ?