J’espère que tu vas bien aujourd’hui et que tu te sens prêt(e) pour une nouvelle dose de bonne humeur. Même si je dois admettre que je m’avance peut-être un peu.
Je ne veux pas râler, mais je tiens à partager avec toi mon désarroi.
Récemment, j’ai été témoin d’une situation qui m’a beaucoup affecté. J’ai appris que certaines femmes enceintes souffraient de douleurs au dos sans que les professionnel(le)s de la santé ne leur apportent les soins nécessaires.
Elles ne reçoivent que des conseils consistant à rester allongées et à prendre du doliprane en attendant que ça passe.
Cela m’a mis en colère contre les professionnel(le)s qui entourent ces futures mamans. Je trouve que le manque d’accompagnement et de directives concrètes visant leur bien-être est inacceptable.
Il est important de comprendre que le système sympathique du cerveau est activé par la douleur, ce qui peut entraîner des répercussions sur l’enfantement et l’allaitement.
Il serait simple de conseiller à ces futures mamans de consulter un body-worker pour ajuster leur corps qui subit de si grands changements mécaniques et musculaires durant la grossesse, et d’encourager leur système parasympathique responsable de la relaxation.
Cela aurait des répercussions positives sur l’enfantement et l’allaitement, facilitant ainsi le processus.
Cela montre également qu’il y a encore du travail à faire pour faire comprendre et accepter l’importance d’une approche pluridisciplinaire qui vise le bien-être de la personne accompagnée.
Personnellement, je considère mes accompagnements de cette façon et je pense que c’est la meilleure approche pour obtenir des résultats durables.
Bien que je n’aie pas réussi à maintenir la bonne humeur promise au départ, je suis content de pouvoir partager mes pensées avec toi. J’attends avec impatience de nouvelles aventures demain.
Sur ce, c’est tout pour moi, pour cette Lait’tre,
je te dis à demain et te souhaite une bonne jour’Néné.